Réflexions sur la dîme

Mais Dieu n'a fait aucune loi pour nous aider à devenir sans coeur mais nous aider à devenir meilleurs.

Le Seigneur n'est pas impressionné par la quantité mais par la charité.

10% d'une pomme n'est pas du tout la même chose que 10% d'un pommier.

Donner peu ou beaucoup n'est pas vraiment une question de montant, mais de sacrifice.

Le don d'un avare est un péché.

Mieux vaut pour l'avare de ne pas donner du tout que de donner à contre coeur; parce qu'aux narines du Seigneur, c'est de l'argent qui pue.

Que l'avare donne 10$ ou $10 000; ça demeure un péché.

On n'achète pas le Seigneur; et on ne courbe pas le jugement du Seigneur envers nous, avec de l'argent.

Aujourd'hui, la personne pauvre est celle qui peut donner le plus au Seigneur. Ce sont les pauvres qui font les plus belles offrandes au Seigneur, parce que pour eux, c'est toujours un sacrifice; tandis que pour une personne riche, ça en est rarement un.

Une dernière chose que je veux faire remarquer, c'est que lorsque Jésus a vu ça; il est dit qu'il a appelé ses disciples pour voir ça également. C'était pour leur donner une leçon importante pour plus tard.
Il voulait leur dire de ne pas être comme les Pharisiens qui ne s'intéressaient qu'aux différents montants que les gens donnaient; de ne pas leur ressembler, et de ne pas mettre plus tard sur le cou de leurs disciples une loi rigoureuse comme ils le faisaient, mais de regarder premièrement à la situation financière des gens; comme il venait de le faire lui-même ici, en parlant de la pauvre veuve.

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