11 novembre 2011

La vieillesse, la maladie et la mort sont inévitables mais elle seront « modelables » pour qui aime le Seigneur de tout son coeur. Comme la faim dévore le corps, l'amour dévorera la mort et rendra doux ce qu'elle a d'amère.

Étienne le martyr ne ressentait plus les coups des pierres qu'on lançait sur son corps, mais « s'endormit » dans une vision béatifique de Jésus. On peut dire de lui qu'IL N'A PAS VU LA MORT; selon qu'il est écrit : « En vérité, en vérité, si quelqu'un garde ma parole, IL NE VERRA JAMAIS LA MORT. » (Jn.8:51)

Ainsi en a-t-il été de la myriades de martyrs qui chantaient les louanges du Seigneur alors que leur corps était en train de brûler ou d'être flagellé cruellement. Ainsi se sont endormis un grand nombre de saints et de saintes dans le Seigneur, qui, selon le témoignage de nombreux témoins, se sont, à la fin de leurs souffrances, endormis avec un sourire de béatitude sur le visage, sans montrer le moindre signe de malaise...

Oui, il est une grâce très spéciale qui attend tous ceux et celles qui auront aimé Jésus par dessus tout autre amour. « BIENHEUREUX les morts qui meurent dans le Seigneur! » (Apo.14)

(Ecclésiaste 12) « Souviens‑toi de ton créateur pendant les jours de ta jeunesse, avant que les jours mauvais arrivent et ...avant que s'obscurcissent le soleil et la lumière, ...temps où les hommes forts se courbent, où celles qui moulent s'arrêtent parce qu'elles sont diminuées... où l'on a des terreurs en chemin... et où la câpre n'a plus d'effet, car l'homme s'en va vers sa demeure éternelle... avant que la poussière retourne à la terre et que l'esprit retourne à Dieu qui l'a donné. » Amen